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Folavril
ne dit rien du mois qui va commencer. C'est un bien vieux
tableau qui fait référence au personnage de Boris Vian. Je m'efforce de le faire aboutir. Mais non, cette fois encore
les couleurs que l'on voit ici, n'ont pas fini sur la toile narquoise.
Je l'ai longuement regardé. Une idée a fait son apparition.
J'ai placé la problématique obsédante sur le chevalet et j'ai préparé cette palette.
Un moment
est passé. Un autre. Encore un autre. J'ai pchité ma peinture qui allait sécher. Encore un peu de
temps s'est écoulé. Puis il a fallu agir. J'ai retiré le châssis du chevalet et en ai dégainé
un autre plus conciliant.
Content d'avoir évité le massacre. Content d'avoir à faire des choses difficiles. Presque heureux. Déçu en somme.
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