Le
sujet est placé comme un être vivant : face à sa mort, le passé dans le
dos et le monde autour.
J'aime l'idée que le spectateur se trouve juste dans l'axe du temps du
sujet et que le tableau lui fasse goûter par réflexion et au final
l'idée de sa propre destinée.
La scène ne correspond plus à aucune norme chronométrique. C'est comme
une juxtaposition d'instants de conscience choisis, qui forment une
empreinte intemporelle.
Je considère donc actuellement les
perspectives comme des parasites dans le cadre de ce travail.
Ce n'était pas dit, mais tant qu'il existait sous la forme d'un bavardage, je répondais aux questions dans le journal de palettes.
Maintenant
que le journal devient liste de couleurs, cette page retrouve toute son
utilité. La plus grande utilité : celle propre à la famille des roues
de secours et des extincteurs...